02 - Editorial
Blackclowns magazine Issue 1 Article 2
Blackclowns <staff@blackclowns.org>
Premier zine difficile a boucler, trop de feignasses qui mangent des chocapics, trop d'heures a idler sur irc, mais on a du finir si vous lisez cette intro malgré un sommaire épuré de pas mal d'articles.
Attachez vos ceintures. Décollage imminent.
Après un retour de phrack sur la scène internationale (merci a eux), on voulait a notre tour vous faire partager gratuitement nos petits trucs, nos recettes de cuisine, histoire que vous ayez de la lecture en vous dorant la pilule au soleil ou en vous baladant a l'intérieur de notre magnifique bretagne (ou a paname sur le beton et le macadam). Sujets fortement orientés kernel même si il y a des articles atypiques, coup du hasard, malchance, on ne saura jamais les tenants, mais les aboutissants se murmureront dans les différentes chaumières de l'hexagone ou autour d'une bonne bouille a baisse. J'espère qu'ils ne finiront pas sur le bureau de tous ces routards travaillant pour des grands groupes d'armement qui écument les conférences de sécurité du monde, faisant ainsi la tournée de tous les bars a nichons en glissant des billets de 500 euros dans de magnifiques strings.
Ces lignes voient le jour quelques semaines avant le début du CCC (oui nous aussi on mange des chocapics, ce qui explique la différence de jour entre l'écriture et la publication), on espère vous voir la bas (oui on vous a vu), tous sous le chapiteau du 'French Village' (et non du 'Village Gay'), a boire, a coder, a refaire le monde, a vomir, a glander, a s'amuser, bref a vivre un très bon moment.
En ce moment j'ai une pensée pour toutes les nouvelles petites tapz de la scène (acid-crew, cpc, etc ..) qui ne connaissent pas la beauté du code mais seulement les exploits php. Je voudrais leur citer un morceau de ma bible : "on était la bien avant vous, on sera encore la bien après".
Je ne finirai pas en vous parlant de ma grand mère ou des dernières séries américaines, après tout on s'en fou (et j'aurai du mal a introduire ce que je vais dire maintenant), mais par une vieille légende celtique qui dit que le jour ou on entendra les grandes roues à carillon sonnées, la fin du monde sera proche, et quiconque les entendra deviendra sourd et quiconque les verra deviendra aveugle.
"Souvent fauchés, toujours marteau !" Les béruriers noirs